Eglise Notre Dame d'Ouilly le Vicomte

HISTOIRE

 

Au bord de la Paquine, affluent de la Touques et non loin d’un camp romain, l’église Notre Dame d’Ouilly Le Vicomte est située à l’écart de la route qui mène de Lisieux à Pont-l’Évêque.

Elle est l’une des plus anciennes églises rurales du Pays d’Auge. Antérieure à 1066, elle comporte des éléments encore plus anciens du VIIe au IXe siècle, (notamment les soubassements au niveau du chœur). Ses dimensions sont modestes.

L’édifice est précédé à l’ouest d’un porche exceptionnel en bois et se termine à l’est par une sacristie en briques plus moderne. Un remarquable clocher en bois à tour octogonale et flèche effilée est bâti sur le chœur. Les ouvertures ont été refaites au XVIe siècle. Une confrérie de charité existait depuis 1630, certains habitants envisagent de lui redonner vie.

 

Inscrite à l’inventaire supplémentaire des monuments historiques en 1926, l’Eglise notre Dame d’Ouilly le Vicomte est bordée par la Paquine.

La nef mesure 16 mètres de longueur pour une largeur de 9 mètres.

On peut remarquer un porche en bois et un clocher octogonal en arrivant par le cimetière qui entoure l’église. En faisant le tour, coté sud, on peut remarquer une ancienne porte romane par laquelle on pouvait entrer dans l’église.

A la tête du clocher, on peut apercevoir un coq récent qui a remplacé celui existant depuis 1661 tombé lors de la tempête de 1999. Cet ancien coq est visible dans l’église. Sur ce coq est notée une inscription « A FULGURE ET TEMPESTATE LIBERA NOS DOMINE – DIEU ET LA VIERGE SAINT JOSEPH ET SAINTE ANNE ME PROTEGE ».

 

On pénètre dans l’église par une porte à deux battants qui s’ouvre dans un porche en ogive garnies de tores. La nef, très spacieuse, a conservé ses bancs de chêne fermé par de petites portes. La chaire est ornée en sa base de saints sculptés (Saint Matthieu et le bœuf, Saint Jean et l’Aigle).

Sur votre gauche en entrant on peut apercevoir les fonts baptismaux, de plan octogonal, avec double cuve creusée dans la pierre qui date du 15eme siècle.

Deux autels latéraux du 18eme siècle ornent l’entrée dans le chœur. Un dédié à Saint Joseph et l’autre à Marie.

Dans le chœur qui a été restauré récemment, on peut voir une voute peinte et sur les murs les quatre évangélistes.

 

Le Maitre Autel

Le maître autel, datant du 16eme siècle, est classé monument historique. Conçu en chêne, on peut reconnaitre Saint Michel, sainte Barbe, Saint Pierre, Saint Jean Baptiste, et Sainte Marguerite.

 

Le maître Autel s’adosse à un retable en bois avec un christ disproportionné qui vous accueille les bras ouverts.

Vous pourrez découvrir un lutrin du 16eme siècle qui est classé Monument historique.

LES VITRAUX

 

Au bord de la Paquine, affluent de la Touques et non loin d’un camp romain, l’église Notre Dame d’Ouilly Le Vicomte est située à l’écart de la route qui mène de Lisieux à Pont-l’Évêque.

Elle est l’une des plus anciennes églises rurales du Pays d’Auge. Antérieure à 1066, elle comporte des éléments encore plus anciens du VIIe au IXe siècle, (notamment les soubassements au niveau du chœur). Ses dimensions sont modestes.

L’édifice est précédé à l’ouest d’un porche exceptionnel en bois et se termine à l’est par une sacristie en briques plus moderne. Un remarquable clocher en bois à tour octogonale et flèche effilée est bâti sur le chœur. Les ouvertures ont été refaites au XVIe siècle. Une confrérie de charité existait depuis 1630, certains habitants envisagent de lui redonner vie.

 

Inscrite à l’inventaire supplémentaire des monuments historiques en 1926, l’Eglise notre Dame d’Ouilly le Vicomte est bordée par la Paquine.

La nef mesure 16 mètres de longueur pour une largeur de 9 mètres.

On peut remarquer un porche en bois et un clocher octogonal en arrivant par le cimetière qui entoure l’église. En faisant le tour, coté sud, on peut remarquer une ancienne porte romane par laquelle on pouvait entrer dans l’église.

A la tête du clocher, on peut apercevoir un coq récent qui a remplacé celui existant depuis 1661 tombé lors de la tempête de 1999. Cet ancien coq est visible dans l’église. Sur ce coq est notée une inscription « A FULGURE ET TEMPESTATE LIBERA NOS DOMINE – DIEU ET LA VIERGE SAINT JOSEPH ET SAINTE ANNE ME PROTEGE ».

 

On pénètre dans l’église par une porte à deux battants qui s’ouvre dans un porche en ogive garnies de tores. La nef, très spacieuse, a conservé ses bancs de chêne fermé par de petites portes. La chaire est ornée en sa base de saints sculptés (Saint Matthieu et le bœuf, Saint Jean et l’Aigle).

Sur votre gauche en entrant on peut apercevoir les fonts baptismaux, de plan octogonal, avec double cuve creusée dans la pierre qui date du 15eme siècle.

Deux autels latéraux du 18eme siècle ornent l’entrée dans le chœur. Un dédié à Saint Joseph et l’autre à Marie.

Dans le chœur qui a été restauré récemment, on peut voir une voute peinte et sur les murs les quatre évangélistes.

Le maître autel, datant du 16eme siècle, est classé monument historique. Conçu en chêne, on peut reconnaitre Saint Michel, sainte Barbe, Saint Pierre, Saint Jean Baptiste, et Sainte Marguerite.

 

Le maître Autel s’adosse à un retable en bois avec un christ disproportionné qui vous accueille les bras ouverts.

Vous pourrez découvrir un lutrin du 16eme siècle qui est classé Monument historique.

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